Vidéo: Parlons de 10 façons de réduire le risque de trouble neurocognitif — et plus encore

Septembre est le Mois Mondial de la maladie d’Alzheimer. Et, pour l’édition de Dementia Talks! Canada de ce mois-ci, les experts discutent des 10 principales manières de réduire votre risque de trouble neurocognitif.

Septembre est le mois mondial de la maladie d'Alzheimer. Cette année, le thème du Mois mondial de la maladie d'Alzheimer porte sur les facteurs de risque de trouble neurocognitif et leur réduction.

Comme l'indique la devise du mois de septembre de l'Alzheimer Disease International : « Il n’est jamais trop tôt, jamais trop tard ». En effet, le moment présent est toujours le meilleur pour passer à l’action afin de réduire votre risque de trouble neurocognitif.

Dans cette édition de Dementia Talks! Canada, enregistrée le 21 septembre 2023, des experts discutent des 10 principales manières de réduire votre risque de trouble neurocognitif. Et, si vous vivez déjà avec un trouble neurocognitif, ces 10 mesures peuvent déjà vous aider à soutenir votre santé cérébrale générale.

Pendant cette discussion, de jeunes chercheurs passionnants au Canada nous livrent ce sur quoi ils se pencheront prochainement en matière de risque de trouble neurocognitif.

Conférenciers invités :

  • Dylan Guan, doctorant à l'Université de Calgary, s’intéresse aux techniques permettant de mieux détecter et maîtriser le risque de trouble neurocognitif précoce.
  • Rebeca Hernández Gamboa, doctorante à l'Université de Colombie-Britannique, étudie les effets de divers types d'exercices sur les fonctions cognitives.
  • Annalise LaPlume, chercheuse postdoctorale à L'Université métropolitaine de Toronto et au Centre de recherche Douglas de l'Université McGill, évalue comment les facteurs liés au mode de vie et les différences entre les sexes influent sur la mémoire et la connectivité cérébrale chez des personnes à risque de trouble neurocognitif.
  • Myuri Ruthirakuhan, chercheuse postdoctorale au Sunnybrook Research Institute, s’intéresse aux processus par lesquels les groupes de facteurs de risque cardiovasculaire peuvent exacerber le risque de trouble neurocognitif.

Tous ces conférenciers ont récemment obtenu une bourse du Programme de recherche de la Société Alzheimer. Cette année, près de six millions de dollars ont été distribués à 44 chercheurs de tout le Canada dans le cadre de ce programme porteur d’espoir.

Cet événement est présenté dans le cadre de la série mensuelle Dementia Talks ! Canada, réalisée en partenariat entre la Société Alzheimer du Canada et Brain Canada.

Si vous avez des questions ou des commentaires, nous vous invitons à nous envoyer un mot à publications@alzheimer.ca.

Plus de détails sur les conférenciers 

Dylan Guan 

A man with short black hair and glasses

Dylan Guan poursuit un doctorat sous la direction du Dr Zahinoor Ismail à l'Université de Calgary. Il a obtenu un baccalauréat ès sciences de l'Université de Toronto avec spécialisation en neurosciences, et mineures en psychologie et physiologie. Il est le représentant des membres en formation de l'Alzheimer Association International Society pour l’avancement et la recherche dans le domaine de l’Alzheimer et des syndromes neuropsychiatriques (ISTAART). Il est également lauréat du prix Killam et titulaire d'une bourse de doctorat du Programme de recherche de la Société Alzheimer. Les recherches de M. Guan portent sur les changements dans les manières de penser, d'agir, de voir et de se déplacer en vieillissant, et qui pourraient être des signaux d'alerte d’un trouble neurocognitif. En comprenant mieux ces signaux d'alerte, M. Guan espère améliorer la façon dont nous détectons et traitons les risques de trouble neurocognitif précoce. 

Rebeca Hernández Gamboa 

A woman with midlength dark hair and a blue shirt

Psychologue et spécialiste de l'exercice physique, Rebeca Hernández Gamboa cumule une expérience clinique et universitaire. Ses recherches portent sur la relation entre l'exercice physique et la cognition. Elle poursuit actuellement un doctorat à l'Université de la Colombie-Britannique, sous la direction de la Dre Teresa Liu-Ambrose, et ses recherches portent sur les retombées de diverses formes d'exercice physique sur les capacités cognitives des personnes âgées atteintes d'une déficience cognitive légère. Son engagement communautaire a renforcé sa volonté de mener des recherches qui répondent directement aux besoins des personnes âgées atteintes d’une déficience cognitive ou d’un trouble neurocognitif. L'objectif de Mme Gamboa est de devenir chercheuse indépendante dans le domaine de la santé neurocognitive et de l'indépendance fonctionnelle des personnes âgées. Elle a récemment obtenu une bourse de doctorat du Programme de recherche de la Société Alzheimer. 

Dre Annalise LaPlume 

A woman with long dark hair smiles in a white shirt

La Dre Annalise LaPlume est chercheuse postdoctorale à l'Université Metropolitan de Toronto et au Centre de recherche Douglas de l'Université McGill. Elle étudie la réduction des risques et la prévention de la maladie d'Alzheimer. Elle cherche à comprendre pourquoi les femmes sont plus à risque de développer la maladie d'Alzheimer que les hommes, et comment nous pouvons aider à prévenir les troubles neurocognitifs chez les hommes et les femmes. Ses recherches ont été publiées dans des revues prestigieuses sur les troubles neurocognitifs et ont également été récompensées par plusieurs bourses de recherche, notamment du Programme de recherche de la Société Alzheimer et du Consortium pour l'identification précoce de la maladie d'Alzheimer. 

Dre Myuri Ruthirakuhan 

A woman with long black hair smiles

La Dre Myuri Ruthirakuhan est chercheuse postdoctorale au Sunnybrook Research Institute à Toronto. La Dre Ruthirakuhan a obtenu son doctorat au département de pharmacologie et de toxicologie de l'Université de Toronto. Certains de ses travaux portent sur des sujets liés aux biomarqueurs de la maladie d'Alzheimer. Récemment, elle a obtenu une bourse du Programme de recherche de la Société Alzheimer pour étudier la manière dont les facteurs de risque cardiovasculaire tels que l'hypertension artérielle, l'hypercholestérolémie et le diabète peuvent augmenter le risque de trouble neurocognitif lorsqu'ils se chevauchent. En outre, elle a obtenu une bourse des Instituts de recherche en santé du Canada pour étudier l'apathie et les niveaux de tau chez les personnes atteintes d'une déficience cognitive légère et de la maladie d'Alzheimer. 

Animatrice : Leah Sandals

Leah Sandals

Leah est rédactrice principale — AEC, Société Alzheimer du Canada. Sa mère a eu une dégénérescence fronto-temporale à la fin de la quarantaine, et ses tantes l’ont eue dans la cinquantaine et la soixantaine. Leah a participé à certaines études de recherches internationales sur les dégénérescences fronto-temporales familiales. Elle a également suivi un conseil génétique et des tests génétiques.

Avant de se joindre à la Société Alzheimer du Canada en 2021, elle a travaillé pendant 20 ans dans le journalisme et l’édition à but non lucratif. 

 

Dementia Talks! Canada

Une série de discussions en ligne consacrée aux troubles neurocognitifs. Des chercheurs et des personnes ayant une expérience vécue nous livrent leurs témoignages, et leurs conseils. Chaque discussion se déroule en anglais avec une interprétation en direct en français disponible.

En savoir plus
Dementia Talks! Canada - a computers screen with four people on a Zoom call