L’histoire de Jessica

Jessica nous livre son témoignage de fille et de partenaire de soins de son père, atteint d’un trouble neurocognitif.

A photo of Jessica and her father.

Avant que mon père ne reçoive un diagnostic de la maladie d’Alzheimer en 2017, la seule chose que je connaissais de la maladie était le concept qui circule communément à son sujet. Ce qui, selon moi, n’était qu’une forme de perte de mémoire qui accompagne le processus de vieillissement « normal », a pris une toute autre dimension quand mon père a reçu son diagnostic.

Ensuite, j’ai réalisé que la maladie s’accompagnait de beaucoup d’autres symptômes, comme les états crépusculaires et les changements de personnalité — des symptômes dont je n’avais pas idée, à cause de la stigmatisation culturelle associée à la maladie d’Alzheimer dans les cultures sud-asiatiques.

A photo of Jessica's father holding their dog.

Mon expérience de partenaire de soins a été un mélange d’émotions intenses. D’origine sud-asiatique, nous avons dû affronter un certain nombre d’obstacles, comme les préjugés des médecins, la stigmatisation culturelle et le manque de programmes et de services disponibles en punjabi pour mon père. 

Pour faire changer les choses, j’ai pris sur moi non seulement d’assumer le rôle de fille et de partenaire de soins, mais aussi de défendre mon père en me joignant à la Société Alzheimer en tant qu’employé.

Je voulais partager son histoire et faire changer les choses dans un système où les soins aux personnes vivant avec un trouble neurocognitif doivent être mieux adaptés à la culture de mon père et à celle de personnes comme lui.

En Ontario seulement, les personnes originaires de l’Asie du sud, de la Chine et des Philippines constituent 61 % de la population* de la province et, bien que la Société Alzheimer offre des outils et des ressources dans d’autres langues, nous avons besoin de donateurs mensuels comme vous pour que plus de ressources et de programmes comme ceux-ci soient disponibles et facilement accessibles.

Deviendrez-vous un donateur mensuel pour les personnes vivant avec un trouble neurocognitif comme mon père? En saisissant cette occasion, votre don sera jumelé tout au long de l’année prochaine**, grâce au Fonds de loisirs sociaux Catherine Booth et Michael Kirk.

Vous pouvez montrer votre soutien en devenant un donateur mensuel à votre Société Alzheimer locale ci-dessous :

Votre don mensuel permettra à la Société Alzheimer de continuer à offrir et à développer des programmes de loisirs sociaux cruciaux qui donnent aux personnes vivant avec un trouble neurocognitif l’occasion de participer au tissu social de leur communauté.

Merci d’avoir lu notre histoire et de faire un don mensuel. 

Jessica B.
Partenaire de soins

*Données extraites du Recensement de 2016.

**Les dons locaux seront jumelés jusqu’à 3000 $ et les dons provinciaux seront jumelés jusqu’à 100 000 $; ils soutiendront des programmes de loisirs sociaux des Sociétés Alzheimer partout en Ontario. Tout don versé ultérieurement soutiendra les domaines qui en ont le plus besoin, notamment des programmes de loisirs sociaux, d’éducation et de counseling.