L’histoire de Maggie et Ruth
Maggie nous livre son témoignage de partenaire de soins de sa compagne de 25 ans, Ruth.
5 mots.
« Vous avez un trouble neurocognitif. »
Cinq mots qui changent le cours d’une vie.
Ruth et moi sommes des enseignantes à la retraite et sommes ensemble depuis 25 ans. Nous étions heureuses d’être à la maison et de travailler sur ses divers projets d’ébénisterie, jusqu’à ce que je remarque que Ruth perde tout intérêt ou avait besoin de plus d’aide pour faire les choses qu’elle aimait autrefois. D’autres symptômes m’ont aussi fait penser qu’il se passait autre chose.
En janvier 2018, Ruth a reçu un diagnostic de maladie cérébrovasculaire.
Je savais que cela allait changer la dynamique de notre relation. Que je finirais par jouer le rôle de proche aidante d’abord, et de femme ensuite. Mais, ce n’était pas la première fois que Ruth et moi faisions face à l’adversité. Pour de nombreuses personnes, recevoir un diagnostic de trouble neurocognitif est associé à beaucoup de honte : elles se demandent ce qu’elles ont fait de mal, ou comment cela a pu se produire. La famille est au courant du diagnostic, mais pas vos amis. Pour les membres de la communauté LGBTQ2S+, c’est sensiblement la même chose.
Mais la Société Alzheimer nous a aidées à ne jamais ressentir la honte en admettant le diagnostic de trouble cognitif léger ou de trouble neurocognitif. Nous nous sommes toujours senties acceptées.
L’aide et le soutien que nous y recevons nous donnent l’impression que nous n’avons pas à chercher nos mots. Au lieu de cela, nous pouvons pousser un soupir de soulagement en sachant que nous y trouverons un soutien continu et un accès à des programmes de loisirs sociaux, d’éducation et de counseling des services qui nous aideront tout au long de notre parcours.
« Au lieu d’être triste à cause de ne plus pouvoir conduire et de devoir apprendre de nouvelles façons de faire les choses, la Société Alzheimer m’a aidée à affirmer mes capacités. » — Ruth vit avec un trouble neurocognitif.
Alors, comment pouvez-vous aider des personnes comme Ruth et moi? En profitant de ce jumelage de don et en devenant donateur mensuel à la Société Alzheimer.
En devenant donateur mensuel, votre don sera jumelé tout au long de l’année prochaine*, grâce au Fonds de loisirs sociaux Catherine Booth et Michael Kirk.
Vous pouvez montrer votre soutien en devenant un donateur mensuel à votre Société Alzheimer locale ci-dessous :
- Société Alzheimer de l’Ontario
- Société Alzheimer de Brant Haldimand Norfolk Hamilton Halton
- Société Alzheimer de Chatham-Kent
- Société Alzheimer Cornwall et Régions
- Société Alzheimer District de Cochrane-Temiskaming
- Société Alzheimer de Comté de Dufferin
- Société Alzheimer Région de Durham
- Société Alzheimer de Comté de Grey-Bruce
- Société Alzheimer de Hastings-Prince Edward
- Société Alzheimer de Huron-Perth
- Société Alzheimer de Kingston, Frontenac, Lennox & Addington
- Société Alzheimer de Kenora/Rainy River Districts
- Société Alzheimer de Lanark Leeds Grenville
- Société Alzheimer de Muskoka
- Société Alzheimer de Niagara Region
- Société Alzheimer d'Ottawa et Renfrew County
- Société Alzheimer de Peel
- Société Alzheimer de Peterborough, Kawartha Lakes, Northumberland & Haliburton
- Société Alzheimer de Simcoe County
- Société Alzheimer de Sarnia-Lambton
- Société Alzheimer de Sudbury-Manitoulin North Bay & Districts
- Société Alzheimer de Sault Ste. Marie & Algoma Districts
- Société Alzheimer de Southwest Partners
- Société Alzheimer de Toronto
- Société Alzheimer de Thunder Bay et Northwest Region
- Société Alzheimer de Waterloo-Wellington
- Société Alzheimer de Windsor-Essex County
- Société Alzheimer de York Region
Merci d’avoir lu notre histoire et de faire un don mensuel.
Maggie et Ruth
Partenaire de soins et personne vivant avec un trouble neurocognitif
*Les dons locaux seront jumelés jusqu’à 3000 $ et les dons provinciaux seront jumelés jusqu’à 100 000 $; ils soutiendront des programmes de loisirs sociaux des Sociétés Alzheimer partout en Ontario. Tout don versé ultérieurement soutiendra les domaines qui en ont le plus besoin, notamment des programmes de loisirs sociaux, d’éducation et de counseling.